The Purpose of Urban Revolution is Not for Returning to Primitive Rural Dwelling
I want to argue for the necessity of urban revolts, not for the sake of dismantling institutions but for shaking institutions to identify their weak spots.
Human habitations are materialized institutions to counter the uncertainties and disorders from the primordial natural world. Henry Lefebvre has made a critical reference to Heidegger's description of solitude artisans building individual houses in rural areas. Despite the scholarly debates, I believe both of them would not think it is an option to return to primitive countryside dwelling after the revolution. Georgio Agamben's idea of Homer Sacer provides a justification. He argued that one could not enjoy free biological life and political protections at the same time. Political institutions protect human beings in exchange for the sacrifice of their "bare life." Any political institution presupposes certain violence to "bare life" and thus is biopolitics. However, modernity absolutizes human rights onto a "bare status" without any presuppositions. It blurs the distinction between the political domain and biological life. On the one extreme is the claim for bare life freedom within the political domain, such as the example of anarchist urban revolt. On the other extreme is the transgression of political power onto biological life, treating people as undifferentiated biological units. This is the case of Nazism and fascism totalitarian states.
In this regard, the urban revolution's eventual intention is not to overthrow institutional structure but to caution the limits of political rights. I could close with this comment as I think it needs further reflections on how urban revolts could help maintain the urban institution's functioning. How can revolutions be constructive rather than destructive? I will get to that the next week.
Neither Lefebvre's Marxism and Heidegger's Dwelling is about returning to primitive
Intersting quote Vincent, "I want to argue for the necessity of urban revolts, not for the sake of dismantling institutions but for shaking institutions to identify their weak spots.'
ReplyDeleteThis bring back the project that Prof. Franco talked about on Thursday, the one on the Public Square in Madrid, Spain. I like the way you put together the sentence above, it is cohesive and true.
What side of democracy should architecture lean on though? It is a theoretical conflict of our time because architecture I believe should reflect how power is shared in a democracy as much as what citizens want. However, what is interesting to me is that the end of the day, the public own the streets, not the institutions. Which again make me ask this, "what is the role of architecture in a democracy, is architecture the creator of political conflicts, is architecture a meditator, or is architecture the solution ?
Again these questions popped up after I listened more about the Israeli-Palestinian conflict and the arguments between Robert Moses and Jane Jacobs.
I am curious what you think.
Je crois de révolution à démocratie est l'invention de française qui a ensuite globalisé. C'est juste une de beaucoup de modalité d'organisation sociale. La situation avant révolution et dans l'autre culture pourrait être très différente (P.S. disez-moi l'historie Israel-palestinien, je ne sais pas beaucoup ...) Donc, je ne crois pas l'architecture doit prendre une position démocratie. Peut-être c'est comme les cheveux ne signifient pas l'homme ou la femme?
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DeleteBien que j'admire votre reponse a ma question, il se peut que comparer les cheveux d'un homme ou d'une femme vis a vis d'un model democratique peut etre plus ou moins relevant a l'architecture en general. Mais bon, je pense que l'architecture est une profession fluide sans virtue statique qui ne peut avoir comme autre but que d'embellir certaines societes, elever d'autres, et defois rabaisser quelques unes. Tout cela pour juste vous faire savoir que mon point de vue m'engage a poser des questions comme celle-ci. En tant qu'etudiant et admirateur de cette discipline, je suis plutot stupefait par le pouvoir que cette profession peut avoir dans no vies de tous les jours, nos routines, nos actions morales, economiques et sociales. En tant qu'etre humains, nous vivons dans un monde de plus en plus complex, plus restraint, plus reclamatif envers ce dont on a besoin pour vivre mieux entre nous mais aussi avec ce qui nous entoure. La democratie et l'architecture tout comme l'histoire nous l'a apprise, sont toujours l'un a cote de l'autre. Des villes en ruine, des pays plus developpes les uns que les autres, non pas a cause des avancements technologiques, philosophiques ou theoriques, mais plutot grace a une architecture qui reflet ces societes dans toute leur splendeurs et imperfection. De la Greece a l'Italie, en passant par la France, la scandinavie, le Moyen Orient, L'Amerique Latine, L'Afrique et le monde Mediterraneen, il semble que politique et Architecture ont toujours eu une relation plutot desirable, une relation qui a pousser le monde a devenir ce qu'il est aujourd'hui. Il semble que l'architecture a cree autant de problemes qu'elle en a fournit. Et je dirai que Oui, l 'architecture est un createur de conflits, un mediateur, mais aussi une solution aux problemes mondains d'hier, d'aujourd'hui et de demain. C'est une profession que j'aime bien malgres tout car pour moi, le monde en a besoin non pas pour avancer, mais pour survivre, s'adapter et celebrer les differences qui nous unissent, les imperfections qui font de nous des humains plus ouvert et plus attentif aux besoins de ceratines communautes vis a vis d'autres.
DeleteC'est une très bonne lecture pour moi. Merci! Deux points je voudrais nommer: tu'as tout à faire raison que l'architecture n'a jamais de-associe avec le conflit de pouvoir, à travers les temps et les régions. J'espère que cela se donne de possibilité à faire de changement pour l'avenir. De plus, je crois l'alerte aux risques potentiels est très important. L'espoir pour un meilleur avenir est à l'origine de tous nous efforts.
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